Aria GIOVANNI – Leçon de cigare…

A ma connaissance – elle est à la fois encyclopédique en ce domaine et pourtant perfectible, n’hésitez pas donc à me contredire d’une bonne nouvelle, Aria GIOVANNI a contribué à l’érotisation du cigare. Pas tant en se “l’introduisant” ici ou là, ce qui ne m’a jamais vraiment transporté, mais bien plutôt en le fumant ou en le mettant en scène. Les occasions ne sont pas nombreuses, voir sont même rares, mises en regard de la générosité de cette fille qui a tant posé ;-) Néanmoins, six séries (l’une toute jeune, écolière, sur un bureau en salle de classe, l’autre sur un transat avec un verre de vin, une troisième habillée en russe, une quatrième en robe transparente à dragon pailleté, une cinquième en robe hyperbare devant un ascenseur, une sixième en robe noire sur un tabouret de piano, plus deux ou trois photos candides civiles, mais nous y reviendrons, bien entendu, un jour…) et une vidéo.

Les images de ce post sont extraites de ces vidéos, disponibles sur le Net encore, où Aria s’essaie à un cours de mise en œuvre du cigare (coupe et allumage), sur le principe de quelques cours “second degré” de cuisine, pour lesquels il faut bien dix ou quinze visionnages pour arriver à se concentrer sur le sujet pourtant simple (je me souviens d’une recette d’œuf au bacon !) de la leçon. Les plus attentifs d’entre vous auront remarqué une certaine unité de lieu, mais des tenues, toutes deux décolletées, certes, mais différentes, laissant supposer plusieurs prises ou un découpage en chapitres de la leçon, sans doute pour ménager la concentration déjà mise à rude épreuve des impétrants fumeurs de cigares. Pour un arianophile cigarophile comme moi, Aria fumant le cigare, c’est du kif (yoh gros !). On ne peut que déplorer qu’elle n’ait pas plus exploité, à sa manière, avec son style, ce domaine confidentiel. Cela aurait relevé le propos des tristes séries des smoking fétichistes parmi lesquelles il faut fouiller, avec courage (ne rigolez pas, faut voir le truc pour mesurer l’effort), pour extraire quelques photos à la hauteur. Bref. Que ceux qui gloussent déjà de l’analogie qu’ils font entre le cigare et le sexe masculin, que ceux qui ne voient dans l’érotique du cigare qu’une transposition d’une par ailleurs délicieuse caresse buccale, relisent cet article et cet autre article ou celui-là. L’érotique des femmes fumant le cigare est autre.

Cela relève, si j’essaie de le formuler selon mes lignes de forces idiosyncrasiques, du fait qu’elles aiment un truc dont elles sont sensées être victimes ou objets.

Je veux dire, bon. Je vais forcer le trait, hein, pour que vous compreniez, quitte du coup à décrire un truc délire. Mais imaginez une femme, aller, ne lésinons pas : parfaite (si si) déjà, sous tous les angles, pétillante, vive, brune, gaulée à tomber, bref, déjà passablement bandante ! Qui en plus aimerait les brunes pulpeuses, les cigares, la Manzana, le cul (et je ne détaille pas, alors que bon...), les films X, les fessées… Vous imaginez ? Ce serait dingue ! Bon, c’était juste pour vous faire comprendre, hein, en forçant le trait. C’est impossible, en vrai. Enfin si, deux fois par siècle.

L’une c’est Aria.

Et l’autre, c’est moi qui dort avec ;-)

XY.