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17 novembre 2011

Lindsey STRUTT – Culotte à nœud-nœud !

Bon. Voilà. Elle, c’est Lindsey STRUTT. Je n’en connais pas plus que cela. Si. Sans doute ai-je été “présenté”, ou plutôt, l’inverse, m’a-t-elle été “présentée” par XX ;-) Redoutable XX, quand elle se fait chasseresse, de brunes en formes, et même, les choses allant, de formes brunes ou moins brunes ;-) Et vertigineuses minutes, délicieuses minutes, entre crépitements absolus et gourmandise complice, quand XX me fait voir ses dernières découvertes. Bref. Donc, oui, sans doute présentée par XX. Mais cette série n’est que le fruit de mes errances, de mes surfs, de mes zyeutages, à la recherche de l’épuisement de ma voracité, élevée par l’envie de trouver matière à ce blog, à notre blog. Je suis donc tombé sur cette série, pas mal, je le concède, mais dont les deux images citées m’ont filé des bouffées de chaleur ;-) Ce que la lingerie et les femmes sont diaboliques quand elles s’associent ;-) Cette culotte, sacrifiant sa coquinerie au confort, à n’en pas douter (mais qui pense encore que les talons vertigineux, les lingeries indécentes, les entretiens multiples sont là pour le confort ?), mais un sacrifice qui vaut la peine ! Quelle belle cause ! Cette dentelle, laissant assez de plat pour couvrir la peau, coller aux fesses, s’arrondir avec les formes, accompagner les plis en contrepoints de liserés. Et cette coupe laissant le haut des fesses, la raie, les reins nus, juste barrés d’une ficelle, d’un ruban, d’un nœud-nœud dont les liens de boucles se perdent là où le regard se perd aussi ! Et cette culotte ne serait que jolies dentelles et rubans joliment posés si la Miss n’avait pas les formes qui sont les siennes... Les formes qui sont les siennes, et que le photographe a capté, et que le photographe a proposé... Le pli du dos, juste au-dessus de la taille, qui dit la chaire, la générosité, l’opulence, la puissance, la féminité... et cela se retrouve dans des détails moindres en visibilité, mais tout aussi forts pour qui les voit: le creux  du dos, de la colonne, creux parce qu’encadré, bordé de chair, mais aussi les jeux de lumière brûlée sur les contours, les hanches, la taille qui montrent les formes dans leur réalité, incarnation au sens premier. Et puis les fesses, quoi, les fesses ! Rondes et formées, larges, dodues, femme jusque dans les plis et arrondis de liaison entre fesses et cuisses... J’en resterai là, je n’évoquerai pas le rond des bras, le petit plis du dessous de bras avec le dos, le plis de retombé du sein gauche visible, cette main posée pour cacher encore, alors que tout explose, la crinière brune qui dégouline dans le dos... Non non, je n’en dirai pas plus. Pour ne pas troubler ce mariage détonnant de cette culotte et de ce derrière. Il y a comme ça, des femmes, des sorcières, même, disons-le, n’ayons pas peur des mots, qui savent les mélanges envoûtants de leurs formes et de lingerie... Hein XX ? ;-)

XY.

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