Lindsey STRUTT – Gilet Brillant…

On surfe, on surfe, on hésite, on se dit “mais de qui va-t-on parler ?”, on hésite, on ne sait plus, on ne sait pas. On entasse, on pose par-dessus. Et puis, d’un coup, on décide de faire un petit tour dans le fond de sa besace, vous savez, dans les petits plis tout au fond, là où on vérifie jamais... Et d’un seul coup, l’évidence ! “Bon sang, mais c’est bien sûr”… Et je dois dire, que ces messieurs qui passent n’ont qu’à bien se tenir… Le sang ne fera effectivement qu’un tour ;o). Bref. Je voudrais parler de cette série-là… Parce que purée, elle envoie sévère !!!!

Il suffit parfois de rien ! Je veux dire, un seul petit accessoire, un gilet de rien. Un gilet qu’on n’aurait jamais acheté, en plus ! Un photographe qui touche sa bille. Une fille en forme(s), et voilà ! Du spectacle sur chaque image ! Les codes en harmonie avec l’effet désiré : le regard souligné au max, les sourcils retravaillés au crayon (ce que j’aimerais savoir faire…), la bouche pâle comme pour signifier “regardez mes yeux, tout se passe par là”… Et pourtant non ! La photo ci-dessous en témoigne comme les suivantes. Non, tout ne se passe pas dans les yeux… Même s’ils sont beaux, hein… Mais ces seins, purée. Leur lourdeur accentué par l’angle choisi du photographe (le coquin !). Ce pli diabolique, là, sous le poids du sein et qui donne sacrément envie de les prendre à pleines mains. Simplement. Dans un premier temps. Avant d’y mettre la bouche… Non, mais faut avouer ! On n’a pas idée aussi !!!! Les cheveux qui tombent d’un seul côté, la bouche entrouverte, les bras relevés qui permettent la projection, les plis gourmands du ventre, jusqu’à cette contention du string. Pfiou ! Quelle sensualité… Tout est invitation. Mordious !…

Attention ! Attention, on touche au sublime ! Bon certes, la photo juste en-dessous ferait même bander un âne. Que voulez-vous, je n’ai pas cette chance ! ;o) Mais je n’en suis pas un hélas ! La photo ci-dessous donc ! Tout dans cette image nous fait converger vers les seins : les cheveux tombants, la bouche brillante de gloss entrouverte et dont la lèvre inférieure tombe vers le bas, les plis du cou en tension, ce gilet ouvert aux petits boutons moqueurs (les salauds veinards), cette vallée généreuse, les ombres en juste contraste, et ces seins lourds, putain ! Ces seins blancs, lisses, doux… Tombant sur un ventre généreux, confortable, qui dit le plaisir pris à table et si éloigné des stocks fish imposés par les tristes diktats. Le string objet de contention des chairs. Et ces cuisses dodues… Il fait chaud, là, non, ou c’est moi ? Y’a pas à dire, elle fait envie !

La dernière, enfin, pour la route. Pour les cheveux barrant son regard et sa main qui semble peiner à les contenir… La bouche entrouverte toujours. Quelle sensualité, et la lumière en apothéose, qui devient code à son tour. Cette projection des seins permise par cette position si inconfortable et si… Si… J’en perds mes mots… Des plis, des creux, des seins, du ventre, des cuisses, des fesses (et dire qu’ils ont oublié de les montrer ! Si c’est pas dommage !). Elle est sublime. Tout simplement SUBLIME ! Il est possible qu’elle entre de ce pas dans le top5, en fait. Propulsée fiça. Oui, en une série et quelques pépites déjà évoquées…

Mon cœur, t’es où ? Parce que là, j’ai méga envie de toi, d’un coup ! Tu avais tellement raison sur les formes… Je retire tout ce que j’ai dit !

Mordious…

Décidément ! Mieux vaut faire envie que pitié !

XX.