Cajoler...

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Cajoler (verbe transitif (peut-être moyen français gayoler, caqueter, du picard gaiole, cage)): Avoir avec quelqu'un des manières douces, caressantes et tendres pour lui manifester sa tendresse.

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J’aime cette photo, apothéose d’une série honnête, certes, mais en dessous de ce moment là. Mais ce n’est pas un reproche, loin de là : tant de séries ne donnent pas même un moment d’exception comme celui-là ! Je trouve que la fille y est superbement à son avantage, de la cuisse large à son pli de liaison, du petit ventre qui se dessine en ombres, la culotte qui n’a d’extraordinaire que les rondeurs qu’elles couvrent ou découvrent, le dos cambré, remontant jusqu’aux épaules, amenant à la nuque, à la crinière et au visage, concentré, attentif, observateur... Faire des cochonneries et les regarder... (soupir) Et bien entendu, le sujet de la photo, le sujet principal, cette queue prise en main et guidée, promenée, caressée sur ces seins si joliment formés de tomber... J’aime la force suggestive de ce geste. Sensoriellement (oui, oui, heureux homme, XX sait à merveille abuser de mes faiblesses !), il n’y a rien à en attendre de miraculeux autre qu’une caresse... Et c'est pourtant bien plus que cela... Bien plus... Pour qui sait... que le plaisir des choses est dans les choses, mais que le piment des choses est dans l’idée que l’on s’en fait, surout quand "on" veut dire "nous"... cette idée que l'on s'en fait, donc, véritable braise logée à la base du crâne, là où se connecte les nerfs et le cerveau, et sur qui soufflent les jeux, les intentions, les impudeurs et les gourmandises propres de celle qui fait d’un geste pour l’autre un geste pour elle... Je n’envie pas cette fille ou cette homme. Ce billet n’est pas un criant appel au “moi aussi”... C’est juste, et je pèse ma richesse en posant ce juste, l’écho d’une image dans ma vie faite de voyages, des voyages comme celui-ci, et comme tant d’autres, passés, présents. Et à venir...

XY.