Sunny LEONE – Bas noirs…

Sunny Leone fait indubitablement partie de mon Top 5. Elle habite ses séances photos. Elle est. Et elle est en puissance. Elle propose, elle joue. Et il n’y a pas que la sublime lingerie et la multitude de codes : lingerie, talons, guêpière, bas, collier ras de cou, maquillage appuyé, vernis rouge et brushing. Prenez cette photo, mettez Sunny nue et ça le fait de la même façon. C’est cela, la puissance. Comme Aria Giovanni en son temps ;o) Le corps, le visage, tout respire la sensualité, le charnel. Elle a ce côté presque italien. La vraie brune, comme on les aime. XY et moi. En chair, pulpeuse. Généreuse, tout en arrondis, courbes et plis. J’aime la minceur de ses chevilles. J’aime sa posture autant que ses projections… La bouche entrouverte, les yeux plantés. Assumée. Présente.

Quelle sensualité, mordious. J’aime les connotations sexuées de ses chaussures de piute. J’aime son buste penché, sa tête légèrement sur le côté, les cheveux qui tombent d’un seul côté, quelques mèches léchant ses genoux. Diabolique. Ses yeux noirs plantés, sa moue, ce collier ras de cou, cette nuque et ce dos, sans parler de cette gorge et ses seins projetés, cette vallée ombrée… Pfiou. Continuons la descente vertigineuse, dos, taille, hanches, fesses et cette jarretière qui comprime, serre les chairs. Je sais mon XY très sensible à ces textures de peau, ces inflexions naturelles qui parlent de rondeurs, de courbes… J’aime la bretelle de la guêpière qui tombe sur le bras, nuque, épaule et gorge entièrement dans la lumière, et rien qui heurte l’œil que cette peau parfaite… et ce geste, cette main codée sur ce talon, le pied dénudé de sa chaussure, pointé. Sensuel. Féminin. Sublime…

J’aime cette fille parce qu’elle est “caliente”. C’est la brune dans sa plus pure expression. Chaleur, volupté, sensualité, charnelle. Elle ne fait pas apprêtée, habillée ainsi… Elle fait presque naturelle. Loin d’être figée, froide, distante ou hautaine. Non. Et puis ses courbes, ses formes, sa peau. Toutes ces bretelles et jarretières qui mettent en valeur ce côté pulpeux et ce visage magnifique, bourré de codes et de propositions, presque des cadeaux. Ca se regarde et le temps se fige, tant de choses à regarder, à savourer…

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Jusque dans cette dernière photo, apothéose pour moi. Cette main et ce pied dirigé vers nous et ce visage flouté qui dit la profondeur de champ. Donc l’intention de pointer. Trouvaille photographique. On est comme partie prenante de la photo, inclus dedans…

Je vous laisse avec la série. Perso, je ne m’en lasse pas. Bonne dégustation, donc, comme avec un bon cigare : le temps qui s’étire et savourer les trois moments, jusqu’au divin ;o))

XX.