Carlotta CHAMPAGNE – Body Bleu

Qu’elles sont belles, ces pépites, trouvées au hasard de recherches fructueuses… Cette fille arrache quand elle joue la puissance, et ce n’est pas toujours le cas… Alors je ne savoure que mieux. J’aime sa posture ici, les codes en nombre : brushing, maquillage appuyé et précis, ongles carrés, chaussures de piute… Et que dire de ce body string qui suit les formes en chair de la demoiselle : taille, hanches, ventre et cette ouverture préméditée, laissant la place à ses seins pulpeux… J’aime ce sein gauche à demi caché, la position de son dos, de ses épaules et de sa tête qui projettent du même coup les seins lourds, ronds. J’aime le pli ombré et ce tissu qui taquine et qui ne donne qu’une envie : le dénuder tout à fait… Elle est là, sa puissance : titiller, donner envie. J’aime la position de sa jambe, relevée, formant le pli entre hanches et cuisses, exhibant tout l’arrondi de la fesse. Et cette main appuyé sur le sofa, diaboliquement codée. Hummm…

Avançons encore…Cheveux tombant en cascade, quand l’intention devient code à part entière, les yeux fermés, la bouche entrouverte, et les doigts qui joue de cette ouverture, la tête rejeté en arrière, légèrement sur le côté. Délicieux... Les deux bras repliés qui pressent les seins et accentuent encore cette vallée déjà généreuse, et du même coup, la main gauche, repliée qui vient mourir sur la naissance de son sein… Erotiquement parfait… Le body enfin ouvert jusqu’au nombril, accentuant les plis de la taille qui se marque davantage. Et le petit pli de l’aine, visible par delà le body… En tous points, je plussois ;o)

Enfin, la belle est nue, jouant encore avec ce body tendu à 5 barres ! Le regard appuyé et hautain à la fois, la bouche en une moue dédaigneuse. Projection des seins par le mouvement des épaules, projection des fesses dans une cambrure, Ahouuuuuuuu ! Diabolique. Et ce pli formé entre taille, hanches et chute de rein ourlé de lumière, accentuant cette courbe déjà généreuse. Les deux jambes serrés, pressant les chairs des cuisses et cette main tenant mollement un body inutile venant mourir sur ses cuisses. La toison contenue, entretenue, en juste mesure, rappelant la chevelure brushé. Divin. C’est si beau une femme qui se sait belle, qui se sait à son avantage, qui sait ce qu’elle va provoquer, engendrer. Là est la puissance. Dans l’assumé de la chose…

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L’apothéose enfin. Une photo redoutable et sublime. Si l’on regarde bien, tout est caché : ni chatte, ni seins, ni cul. Et pourtant tout est là et crève l’écran, si je puis dire. Tout est dans ce regard bien planté. Sensualité de l’attitude, dans les cheveux rejetés en arrière dévoilant la nuque, les épaules et le dos, tout en lumière, courbes, arrondis et plis… Les fesses généreuses pressés sur le dossier du fauteuil. Le pli mortel entre ventre et cuisse, accentué par la hauteur du talon. Le bras droit replié dont on devine la pression sur le sein qu’il frôle, contient et projette du même coup. Sein à peine visible dans le pli. La main délicate qui vient mourir sur son genou, tandis que l’autre main caresse cette peau, entre cuisse et fesses, dans un geste d’invitation qui confine au divin. Pli encore entre cuisse et mollet, comme à la cheville. Tout est plis entre des courbes.

(soupir) Qu’une femme peut être belle, quand elle le sait ;o)

XX.