Jenya D – Une et une seule…

Cela fait un moment que je ne trouve plus les mots… La sensualité, la pornographie, le sexe… Compliqué de se renouveler, de trouver les mots justes. Ceux qui ne font pas incessamment répétés. Il faut tenter de trouver un point de vue, un angle d’attaque, ou un thème qui nous tient à cœur… Ou une fille. Une fille, une femme à laquelle on est sensible et qui donnerait de la profondeur, des images, à ces mots qu’on garde en soi, que la pudeur parfois, nous empêche de révéler… Même quand on le vit chaque jour. Vivre et soulever un coin de voile. Montrer sans dévoiler…

Et puis… Dans ce silence… Cette photo m’est revenue… Comme ça… Dans le millier de photos que j’ai peut-être en réserve. Celle-là m’est venue, en écho à un moment, une soirée vécue il y a deux jours peut-être… Un moment, instant, qu’on voudrait voir durer et qui pourtant, malgré l’intensité, la beauté, se termine, inexorablement. J’aime ce que montre Jenya. Là. Dans cet instant de grâce. La série est sublime évidemment, comme beaucoup de séances photo de la miss. Je ne vous mets aucun lien pour l’instant, car j’aurais d’autres mots à y mettre. Je veux juste m’arrêter sur cette seconde.

Plussoyer les mots de XY, qui disait remarquer que la belle s’arrondissait un peu, c’était ici ;o)… Je crois que cette photo le démontre. Elle qui sur bien des séries manque de fesses, ici elles sont rondes à mourir… Et parler de ce moment où une femme est femme. De façon absolue. Cet instant-là, l’amour, le désir l’emporte à un point tel, qu’elle ne peut que se donner. Offrir ce corps qu’elle habite parfois aisément et parfois de façon plus compliqué. Tendre ses forces autant que ses fragilités pour que le voyage l’emporte loin. Aux frontières de ce plaisir inavouable, fort, violent. Où amour et pornographie se confondent, où tendresse et respect sont loi et condition à la fois, sans que ça n’enlève les invitations ou les injonctions…

Et j’aime les filles qui savent entrer dans ces instants et les montrer et les offrir… Ces yeux fermés, cette bouche entrouverte, ces seins écrasés sur cet oreiller chanceux, les cheveux qui dégagent ce visage qui mime l’extase… Et ces mains ouvertes posées sur ces fesses, ce cul en projection accentué par cet culotte à demi-baissée qui dit l’invitation, l’injonction, la supplication… Elles ne sont pas nombreuses à offrir autant… Il y a Erica Campbell, Aria Giovanni et l’on a déjà fait le tour, je crois… ;o)

Jenya est la plus belle. Reste la plus belle pour moi. Et cette photo… C’est mon petit bonbon Haribo. Ma petite fraise Tagada.

Le premier bonbon, qu’on suce lentement.

Avant de manger les autres rageusement, par poignées entières…

;o)

XX.