Lucy V. - Impétrante au Top5 ?

Le blog a repris, depuis quelques jours. Un peu brouillon. Le temps de se remettre dans le bain. Et puis, je ne sais pas, besoin aussi, sans doute, de faire autrement. La profusion. Besoin de ranger. Sans rien abandonner, ni filles nues, ni X, ni clins d'œil, ni jeux, mais organiser, disposer autrement. Légèrement autrement. En échangeant avec XX sur le sujet, me forger, petit à petit une idée. Comme par exemple, ne pas chercher à publier toutes les séries de toutes les filles nues plantureuses ? Les sites professionnels le font très bien et cela ferait doublon. Se focaliser, je crois. Faire le choix. D'un Top5. Et là, oui, chercher à être peut-être exhaustif, ou en tout cas, une certaine fidélité (j'ai déjà expliqué le sens ici convoqué du mot fidélité (http://doublesjeux.canalblog.com/archives/2012/04/25/24047918.html)) et une certaine assiduité à traquer la pièce rare, la série magnifique, la photo qui raconte et renouvelle les raisons du choix...

Dans ce cadre là, donc, il faut choisir, short lister, et reléguer les autres filles aux promenades. Ce n'est pas déchoir les unes pour consacrer les autres, c'est préciser les contours d'un univers, c'est mettre en avant des archétypes plutôt que le nombre, c'est préférer la sélection à la multiplication, l'exégèse à la boulimie, l'assiduité au papillonnage. A ce titre donc, une liste se construit ;-) Et la présente demoiselle, Lucy V., fait l'objet de cet article, parce que je me pose la question. Une Leanna Decker, ou une Aria Giovanni ne soulèvent pas de question. Crac ! dans la liste. Une certaine XX aussi. Crac ! dans la liste.

Même si, mais nous en reparlerons, je réserve un sort particulier à Leanna Decker et XX, sorte de place à part. Leanna Decker parce qu'elle débute et a, à mon sens, un cran au-dessus des autres, une puissance rappelant Aria, à son apogée ;-) Et XX parce qu'elle est la réalité, l'incarnation, le possible, l'inespérée, la résolution de ces archétypes, si tôt ressentis, si longuement forgés et désormais, depuis Elle, vécus... au delà de mes rêves les plus fous.

Pour ce qui est de Lucy V., bon, ben je vais voir. J'aime ses formes dodues, généreuses, opulentes, avec toute la fragilité que confère justement cette générosité des formes, que tant décrient, que tant classent dans le "trop"... Les seins lourds, la chaire qui couvre et se marque d'une brettelle de soutien-gorge, d'une culotte ajustée, les plis qui naissent d'une posture ou d'une liaison... J'aime voir, même si ce n'est que moi, ces lignes de fragilités dans cette nudité qui s'offre, se projette, se donne. Il y a quelque chose, là-dedans, de magnifique, de féminin, d'érotique, que de se donner malgré les fragilités. Quelque chose qui devient un trésor inestimable, quand il s'agit de la réalité... comme XX sait le faire.

XY.